Théâtre à nul autre pareil
« Joueurs et surtout perdants, assassins, demi-dieux errants, égarés du royaume des cieux, anges et angelots, quasiment étrangers à la communauté civique, les personnages de Jean-Pierre Milovanoff échappent pourtant au statut de victime. Figures d’une tragédie digne d’Eschyle, héros d’une épopée, ils sont l’objet et le sujet du débat, les agents et les agis, innocents et coupables, les enjeux d’une tragédie contemporaine. Par là même ils sont absents du tragique psychologique, de son flot de larmes et d’autocritiques. Sauvés en quelque sorte par le langage de l’auteur… »
Marie-Christine Vernay, Libération.
« Quand on lit les pages superbes de Squatt, du Roi d’Islande ou de Side-car, on se demande pourquoi Jean-Pierre Milovanoff est si peu joué.
Bernadette Bost, Le Monde, 20/7/1994.
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